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    Un simple relais de chasse....

    Un simple relais de chasse....Un simple relais de chasse....Un simple relais de chasse....

    Un simple relais de chasse....

    Un simple relais de chasse....Un simple relais de chasse....Un simple relais de chasse....

    Le jeune roi François Ier a vingt-cinq ans lorsqu’il lance, en 1519, l’immense chantier du château de Chambord. Voulu comme un relais de chasse, Chambord possède une architecture qui en fait le château de toutes les démesures : 156m de long, 56m de haut, 77 escaliers, 282 cheminées et 426 pièces ! Avec un mur de clôture de 32 km de long, ouvert par six portes, le domaine représente, avec ses 5440 hectares, la surface de Paris intra-muros ! Il constitue, aujourd’hui, le plus grand parc forestier clos d’Europe.

    Au centre du donjon s’élève le célèbre escalier à doubles révolutions desservant les trois étages du château. Celui-ci est constitué de l’imbrication de deux escaliers en vis évoluant autour du noyau creux central. Deux personnes empruntant chacune une volée d’escalier peuvent s’apercevoir par les ouvertures pratiquées dans le noyau mais ne se rencontrent jamais. A chaque étage autour de l’escalier se déploie 4 vestibules formant une croix. Léonard de Vinci ne serait-il pas l’inspirateur de ce projet… ?

    FRANCOIS Ier ne séjournera à Chambord que 72 jours en 32 ans de règne !

    Les S.D.F. vous saluent bien…

     


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    La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.

    La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.

    La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.

    La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.

    La "Maison de campagne" de TALLEYRAND.Monsieur de Talleyrand nous accordera un après-midi ensoleillé, afin de nous permettre de visiter sa belle demeure : le château de VALENCAY, en passant de la cave au grenier (ou presque).  En 1803, le comte de Luçay, préfet des Palais Consulaires mais à court d'argent, vend pour 1,6 million de francs l'énorme domaine de 12 000 hectares répartis sur 23 communes à Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, ex-évêque d'Autun, ministre des Relations Extérieures du Consulat, obéissant ainsi à Bonaparte - qui contribua à l'achat - suivant cet ordre : « Je veux que vous ayez une belle terre, que vous y receviez brillamment le corps diplomatique, les étrangers marquants,... »

    A bientôt pour le prochain château !

    Les SDF vous saluent bien…


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    T'as voulu voir Vierzon...et tu verras Bourges...sous la pluie!

    T'as voulu voir Vierzon...et tu verras Bourges...sous la pluie!

    T'as voulu voir Vierzon...et tu verras Bourges...sous la pluie!T'as voulu voir Vierzon...et tu verras Bourges...sous la pluie!

    Ne parlons pas météo… ! Dimanche 17 juillet, Bourges, la capitale du Berry nous laissera, entre deux ondées, le temps d’admirer son imposante cathédrale, et la visite, en petit train couvert !, son quartier médiéval, aux ruelles ou se blottissent par dizaine les maisons à colombage, plus resplendissantes les unes que les autres. C’est sous le rythme des essuies –glaces  du C.C., transformés en métronomes ! que nous continuons notre errance !

    Les SDF vous saluent bien…

    Photos :  Elton attentif à la visite en petit train .


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    Accueil

    AccueilAccueilAccueil

    AccueilComme vous l’aurez compris, au risque de me répéter !, les aléas de couverture 3G, ne nous permettent  pas la régularité de nos « carnets de voyage ». Depuis trois jours, dans un petit village berrichon, LUNERY, sans grand intérêt touristique mais avec un petit camping tranquille et propret, et Internet qui passe plein pot ! nous avons prolongé notre halte.

    Demain, nous visiterons Bourges, avant de se diriger vers l’ouest et les châteaux de la LOIRE.

    Les SDF vous saluent bien…

    Photos : Il m’arrive de « m’amuser » avec mon APN…En voici, quelques unes prises au cours de ces dernières semaines.


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  • AccueilAccueilAccueilAccueil…Et nous voilà partis sur les chemins à bicyclettes…Les nuages s’assombrissent…le tonnerre gronde…Un, deux, trois éclairs… et c’est la douche ! Comme, il est recommandé : Ne pas s’abriter sous les arbres pendant l’orage, nous rebroussons chemin sous le déluge, bien au milieu de l’allée forestière. Elton, blotti au fond du C.C. nous accueille d’un air étonné : pourquoi mes maîtres ont-ils été se baigner tout habillés ?!

    L’après-midi est plus clémente, et le soleil aidant nous reprenons notre visite trop brusquement écourtée  pour aller admirer deux des plus beaux spécimens de cette forêt de Tronçais : Les jumeaux et La Sentinelle.

    Puis se sera la direction de Saint-Amand-Montrond, notre étape du jour.

    Les SDF vous saluent bien…


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