• Joyau de Picardie 3...

    Joyau de Picardie 3...Joyau de Picardie 3...Joyau de Picardie 3...Joyau de Picardie 3...Joyau de Picardie 3...Joyau de Picardie 3...Les SDF vous saluent bien...


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  • Joyau de Picardie 2...Joyau de Picardie 2...Joyau de Picardie 2...


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  • Joyau de Picardie...Joyau de Picardie...Joyau de Picardie...Joyau de Picardie...Joyau de Picardie...Joyau de Picardie...La Somme, fleuve tranquille qui s’étaler dans le plat pays picard avant de se jeter dans la mer. S’étaler est le moindre mot…puisqu’il envahit plusieurs centaines d’hectares ! Faites d’immenses étendues sablonneuses et d’herbes hautes, la BAIE de SOMME est une terre de nature sauvage, terrain privilégié pour une multitude d’espèces d’oiseaux. Au gré des marées   dunes de sable avancent ou reculent ; l’eau  creuse dans le sable des canaux éphémères, envahit pour quelques  heures des étendues herbeuses…Ciel bleu ou nuageux, lumière du matin ou du soir font de la surface de cette immense baie, un kaléïdoscope géant. Un spectacle inoubliable et merveilleux…Nous venons de passer deux jours à Le Crotoy, à admirer ce spectacle permanent …et le Nikon a chauffé !

    Les SDF vous saluent bien…


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  • La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...La Côte d'Opale...Dimanche  7 août, enfin il a fallu venir sur les bords de la Mer du Nord, pour y trouver un peu de soleil, à défaut de chaleur (la faute à un fort vent). CALAIS,  la ville qui avait déjà souffert de la Première Guerre Mondiale, a été complètement détruite lors de la Seconde. De beaux parcs et jardins publiques ; l’Hôtel de Ville et son magnifique beffroi (façade en restauration avec un camouflage des échafaudages !) ; le monument des Bourgeois de Calais, œuvre de Rodin ; le port et son incessant  va-et-vient  des ferrys reliant les côtes anglaises  (38 km)  nous retiendrons quelques heures. Puis nous longerons, plein sud, la Côte d’Opale pour  nous rendre  sur  deux sites exceptionnels, classés « Grand Site national » : le Cap Blanc-Nez et le Cap Gris-Nez. C’est au Cap Gris-Nez (le plus au sud), que le continent est au plus prés des Iles Britanniques (28 km), et que (symboliquement) se séparent Manche et Mer du Nord. Passage étroit  ou le trafic maritime est un des plus denses du monde. On compte, par jour, plusieurs centaines de bâtiments (cargos, pétroliers, porte-conteneurs…)  qui se croisent  entre les falaises de Douvres et celles de France.

    Les SDF vous saluent bien…   


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  • Les gens du Nord...

    Les gens du Nord...

     

    Les gens du Nord...Les gens du Nord...Les gens du Nord...Les gens du Nord...Les gens du Nord...Les gens du Nord...

     

    …ont dans le cœur le ciel bleu qu’ils n’ont pas dehors… ». Enrico Macias avait raison ! C’est ce que nous avons ressenti  lors de nos haltes chez les fermiers « France-Passions » : toujours un excellent accueil. Mais Enrico aurait pu faire un autre couplet : Les gens du Nord ont  un cœur, grand comme le parapluie qu’ils ouvrent quotidiennement à toute heure !

    Pour la visite d’une grande ville, nous avons adopté le principe suivant : Faire halte, soit dans un camping, une aire de service bien équipée ou une ferme « France-Passions », qui soient à proximité d’un moyen de transport urbain ou interurbain  acceptant les toutous ! Cela nous laisse à loisir le temps de découvrir la ville, sans le souci de stationnement du C.C.  Ce ne sera pas, hélas le cas pour Amiens, ni pour Arras. Alors décision : Lille…Bruxelles…Brugge…à voir plus tard ! Nous « obliquons à l’ouest pour rejoindre la côte, et la descendre  en quête d’un peu moins de pluie…

    Après une « visite-éclair » d’ARRAS sous parapluie, nous n’avons pu résister, en passant prés de VIMY, d’aller voir le si  triste et célèbre site de la Grande-Guerre. On y accède, sur terre canadienne (donnée par la France), en traversant bois et prairie, et qui n’ont pas été nivelés depuis les combats. C’est ahurissant ! le nombre de trous et de bosses ! Ici le Mémorial Canadien  rappelle  que 66.655 d’entre eux ! ont trouvé la mort. Notamment durant l’offensive du 9 avril 1917, précédée d’un tir de barrage allemand de 3000 obus par minute ! Les noms des 11.285 Canadiens, » portés disparus, et présumés morts », sont gravés sur le monument. Un peu plus loin, un  autre monument rappelle la bravoure d’une division marocaine qui a héroïquement combattu sur ces mêmes lieux  en 1915. Notre visite s’est effectuée aux pas de course, sous un déluge d’eau !

    Les SDF vous saluent bien…


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